Nouvelle Netware

Le saviez-vous?

L’origine du nom « Novell » provient d’une mauvaise orthographe du mot français « Nouvelle ». En tout cas, c’est ce que dit ce site:

« According to Roger White, an early Novell employee, the two founders of Novell Data Systems were at their lawyer’s office preparing to incorporate. Jack Davis planned to use the name Macro Systems, when George Canova said his wife had a great name for the company: Novell. Jack asked, “What does it mean?” Davis said that it meant « new » in French. Considering that the French word for « new » is the masculine « nouveau » or the feminine « nouvelle, » it appears that Novell’s current name is the result of a misspelling. »

Ce qui donne à peu près en français (traduction libre):

« D’après Roger White, employé de la première heure chez Novell, les deux fondateurs de ‘Novell Data Systems’ préparaient leur création d’entreprise chez leur avocat. Jack Davis avait prévu de lui donner comme nom ‘Macro Systems’ [ha ha ha], quand George Canova lui dit que sa femme avait trouvé un excellent nom pour la société: ‘Novell’. « Qu’est-ce que ça veut dire? » lui demanda Jack. [George] répondit que cela signifiait ‘new’ en français. Sachant que ‘new’ se traduit par ‘nouveau’ au masculin ou ‘nouvelle’ au féminin, il s’avère que le nom ‘Novell’ retenu pour la société est le résultat d’une faute d’orthographe. »

La ceinture-portables

Je découvre avec intérêt le téléphone portable que mon entreprise vient de m’offrir pour être sur de pouvoir me joindre à tout moment: il s’agit d’un Blackberry dont je tairai le modèle pour ne pas éveiller en vous de jalousie superfétatoire.

Je joue donc depuis une heure à paramétrer la bête (internet, réception des emails, synchronisation d’agenda, SMS, MMS…)

Bref, tout ce que ma radinerie prudence légendaire en matière de télécommunication m’a empêché de tester depuis des années, moi qui ne dispose que d’un simple forfait SFR de 10 mn (pour 7 euros TTC /mois…) sur un téléphone même pas appareil photo.

Mais alors se pose maintenant un problème digne de figurer dans ma rubrique « questions à deux euros »: comment ma ceinture de pantalon va-t-elle encaisser ce choc supplémentaire?

En effet, s’y trouvent déjà agrippés: un téléphone portable perso (pour les expertises et mes amis), un téléphone sans fil DECT (professionnel), un badge professionnel et un PDA. Et voilà donc qu’il faut faire une place pour ce petit nouveau…

Bref, je suis à la recherche d’une ceinture pour portables.

Une paire de bretelles en renfort peut-être…

Listes de diffusion

Je tiens à attirer l’attention sur un outil très puissant de gestion des listes de diffusion: le logiciel SYMPA.

Nous l’utilisons depuis 8 ans pour gérer nos (trop) nombreuses listes de diffusion internes et externes.

Il est opensource, fiable, stable et développé par des français, ce qui n’est pas si fréquent.

Il dispose de toutes les fonctions permettant de gérer des listes de diffusion (abonnements, désabonnements) et notamment les listes fermées d’utilisateur, la modération etc.

Pour ceux que cela intéresse: https://www.sympa.org

Sauvegardes: les données importantes

Lors de la préparation du passage à l’an 2000, j’ai suivi une présentation éponyme où le consultant énonçait les différentes étapes à suivre.

De son exposé, j’ai surtout retenu qu’il était important de s’occuper en priorité des données VITALES de l’entreprise. Mais que pour cela, il fallait être capable de déterminer quelles étaient REELLEMENT les données importantes de l’entreprise.

J’ai donc immédiatement établi la liste des applications VITALES de mon entreprise:

– la paie

– la comptabilité

– les applications métiers.

Tout le reste sert à maintenir un bon niveau de productivité, d’organisation, mais n’est finalement pas VITAL (c’est du confort).

Avant de mettre en place toutes les opérations de sauvegarde, j’ai soumis mon analyse aux secrétaires et assistantes des différents services.

Service paie: « si on perd toutes les données informatiques, je procède à la photocopie des bulletins de salaire du mois précédent en expliquant aux salariés et on régularise plus tard »

Service compta: « si on perd les données informatiques, on reviendra à l’âge de pierre dans le service, mais l’entreprise ne coulera pas (des explications ont suivies, mais je n’ai pas tout compris. Il y était question de déclarations fiscales, sociales, pariétales…) »

Les autre services: « la plupart des secrétaires utilisent des modèles de documents qu’elles ont mis au point individuellement et qui leur servent à générer des documents qui seront en général imprimés à un moment ou à un autre ».

Conclusions:

1) A ma grande surprise, l’entreprise ne coulera pas (immédiatement) si l’informatique brule.

2) Les données importantes ne sont pas celles que je croyais et qui me paraissaient évidentes.

3) Il faut s’adresser aux secrétaires et assistantes des services en non pas aux chefs des services, car ceux-ci m’ont tous dit que nous étions morts si l’informatique tombait en panne plus de deux jours.

4) Rester discret sur cette enquête pour rester crédible à cause de l’investissement de l’automate de sauvegarde, alors que les données VITALES (les modèles Word) tiennent sur une clef USB…

5) Le confort, cela n’a pas de prix.

6) Dans mon cas (je suis un privilégié), si la salle serveurs brule, j’ai UN MOIS avant de mettre réellement en péril l’activité de l’entreprise.

Cela laisse le temps d’acheter et de remonter des serveurs avec les données extraites des cendres.

C’est cela aussi le savoir faire de l’expert judiciaire !

PS: Je parle bien ici de l’évaluation d’un arrêt « longue durée » de l’informatique. Tout le monde sait qu’un serveur arrêté entraine ex abrupto une paralysie d’au moins une demi-journée (c’est le temps nécessaire pour un utilisateur moyen pour arrêter de fixer son écran désespérément noir ET pour arriver à joindre le service informatique dont la ligne est bizarrement toujours occupée).

Service service

Je gère un service informatique où nous sommes trois.

En face de nous, de l’autre côté des tranchées, 900 utilisateurs.

Parmi les utilisateurs:

– les super-compétents:

« J’ai installé Vista en multiboot sur mon portable perso mais depuis, ma partition Windows XP et ma partition Windows 98 ne démarrent plus. »

– les super-enthousiastes:

« Je viens d’installer Outlook 2007 et depuis, j’ai un message d’erreur sur mon serveur IMAP: Code de l’erreur: 0x800CCCDD »

– les super-normaux:

« Ma synchronisation PDA ne fonctionne plus »

Parmi nous (les membres du service info):

– le para normal:

« Est-ce que vous avez redémarré la machine? »

– le geek:

« Mais c’est normal que cela ne fonctionne pas, c’est à cause du windows update de ce matin que l’activesync avec votre palm est maintenant bugué. Fallait pas accepter le windows update »

– le chef (c’est moi):

« Cool les gars: politesse, diplomatie, traitement des tâches dans l’ordre: d’abord les tâches planifiées, tout en répondant au téléphone pour les tâches non planifiées. Et n’oubliez pas de dire bonjour. Bon si on m’appelle, je suis en salle serveur… »

Un service informatique,

– il faut que cela soit organisé:

gestion des tâches = logiciel opensource OTRS

– doit satisfaire ses clients:

politesse, diplomatie, le client doit sentir que son problème nous intéresse et que l’on va trouver rapidement une solution. Ne jamais lui dire qu’il est nul. Après tout, s’il appelle, c’est que l’informatique n’est pas si efficace que cela, mais que nous les êtres humains gourous à son service, nous allons dompter la bête et la domestiquer pour lui.

– doit trouver les solutions:

check lists, google et réinstallations-sans-comprendre sont les trois mamelles qui nourrissent l’âme du service informatique efficace (et rapide).

Un service informatique, cela doit être « au service de ».

Mais parfois, c’est dur.

Installation d’un système informatique (1)

J’ai quatre jours pleins pour installer un système informatique pour dix personnes à Casablanca.

Rubrique technique donc.

Voici les données du problème sur mon tableau blanc:

1) Permettre à dix personnes de travailler sur ordinateur et d’avoir un accès internet.

Travailler = utiliser les principaux logiciels suivants: Catia (CAO), la suite MS-Office+MS Project et quelques autres logiciels spécialisés comme MatLab. Travailler signifie également que des données sont générées, qu’elles doivent être stockées, protégées en accès et sauvegardées.

Avoir accès à Internet = partager un point d’accès.

2) Pas d’équipe technique sur place. Un permanent (non technique) présent sur site (le directeur du centre).

Je décompose le problème en trois parties: le matériel, le réseau et les logiciels.

1) Le matériel: 10 PC + un serveur me semble être la solution classique pour centraliser la gestion des comptes, les données des utilisateurs et leurs sauvegardes. J’établis des devis approximatifs via internet (site Dell), un budget définitif que je présente en comité de direction, puis je passe le relais au directeur du centre pour qu’il passe par des fournisseurs locaux (devis, choix, achat, livraison et installation du matériel).

Je fais le choix d’un fournisseur local pour des raisons pratiques de garantie, de maintenance et de simplicité.

Après quelques aller-retour d’emails et de coups de téléphone, le fournisseur est choisi, la matériel est commandé, livré et déballé. Il m’attend…

2) Le réseau: il s’agit d’abord de disposer d’internet. Je demande au directeur du centre de passer commande auprès du fournisseur d’accès internet marocain qui lui semble le plus fiable. Quelques semaines plus tard, installation d’une ligne ADSL et tests sur le portable du directeur du centre par Maroc Telecom. Tout est OK.

3) Les logiciels: je fais le choix pour l’OS du serveur de la distribution Linux/Debian Sarge pour sa robustesse et stabilité, avec Samba pour transformer le serveur en contrôleur de domaine principal et gérer les 10 PC (11 avec le portable) ainsi que les comptes utilisateurs et les partages de fichiers.

Les PC seront sous Windows XP Pro.

L’un d’entre eux servira de serveur de licences pour Catia (LUM) et pour MatLab (FlexLM).

Il est prévu de procéder à l’installation d’un poste type, puis de le dupliquer sur les autres à l’aide de la distribution HELIX ou via UBCD en passant par un partage Samba du serveur pour y stocker l’image.

Les messageries seront gérées à distance sur notre serveur français, bien que je sois en train d’étudier la solution google Apps (peut-être un prochain billet?).

Les outils basics (compta, paie, etc) du système d’information seront accessibles par internet via ssl explorer que j’utilise déjà en France pour travailler à la maison. En attendant la mise en place d’un VPN (il faut que je teste la liaison ADSL marocaine).

Je passe commande des billets de trains et d’avions par Internet, ainsi que de la réservation de l’hôtel. J’imprime une carte de Casablanca et une image satellite prise sur google maps.

Hier, vendredi, j’ai passé la journée à tester l’installation de la solution sur du matériel de passage dans le service informatique. Tout à l’air OK, mais quatre jours, cela va être juste juste.

Je suis en train de préparer ma valise: je compte emmener un switch, une carte SATA, quinze câbles réseaux, un routeur, une rallonge électrique… Je m’attends à un supplément de poids sur le vol aller.

Je pars lundi, je n’ai jamais mis le pied sur le continent africain.

Je commence par le Maroc, cela me semble une chance pour une première.

A suivre.

Casablanca Maroc

Je pars la semaine prochaine à Casablanca au Maroc !!!

Pour les vacances? Non. Pour y installer un réseau de 10 PC + serveur + accès internet.
Raisons professionnelles donc.

Au menu: installation de Windows XP, Catia, couscous, MS-Office, OpenOffice, tajines, MatLab, paramétrage de Samba sous Debian, gâteaux au miel, création et configuration du serveur comme routeur internet, tirage de câbles, fekkas, installation d’un switch…

Plus d’informations ICI.

Si j’arrive à configurer l’accès internet en premier, je garderai le contact avec ce blog.

Besslama
(Wash wahed i tkalem b lfransawiya).

Achat sur internet

Je ne me lasse pas des procédures mises en place pour l’achat en ligne.

J’ai déjà narré sur ce blog une « aventure » avec la SNCF (dont je ne suis pas précisément très fier).

Voici ce qui m’est arrivé aujourd’hui:

Les faits:

Je dois commander 70 clefs USB avec le logo de mon entreprise.

Une petite recherche sur Internet me donne plusieurs pistes possibles.

Je contacte trois sociétés pour obtenir des devis (et un échantillon si possible).

Une fois l’entreprise choisie, je constate malheureusement que le délai de 10 jours pour la fabrication/livraison est un peu long pour ma dead line.

J’appelle par téléphone pour essayer de gagner quelques jours en essayant d’accélérer le processus.

Le dialogue:

Moi: « Bonjour, c’est moi qui ai commandé un échantillon de clef USB avec logo (je donne mon nom et la référence de la commande d’échantillon). C’est OK pour passer commande, mais je voudrais être livré le plus vite possible »

Société X: « Pas de problème. Le plus simple est un paiement par carte bancaire. »

Moi: « OK, mais je n’ai pas vu sur le site comme régler par carte bancaire ».

Société X: « C’est normal, je dois vous envoyer le formulaire ».

Moi: ???

La procédure:

  1. Je dois envoyer un email pour confirmer que l’échantillon est conforme à mes attentes;
  2. Le commercial me confirme la réservation d’un créneau de fabrication et m’envoie un devis complet (vous savez, avec la taxe eco-truc non mentionnée dans les tarifs en ligne);
  3. Je faxe mon bon de commande avec le devis (imprimé) signé;
  4. En retour je reçois un formulaire PDF que je dois imprimer et remplir avec mon numéro de CB, le libellé exact du propriétaire de la carte, sa signature et les trois chiffres (vous savez, ceux qui se trouvent derrière la carte);
  5. Je faxe ensuite le formulaire;
  6. Le commercial m’envoie un email pour me dire qu’il a tout reçu et transmet le formulaire CB à son service comptable;
  7. Le lendemain, le commercial me confirme que le paiement CB s’est bien passé (ce qui m’amuse, vu que j’ai signé de ma propre signature qui n’est pas celle du propriétaire de la carte bancaire) et que la production a démarré.

Ouf.

Deux fax, deux impressions et un nombre d’échange d’emails non calculé.

Vraiment, bravo pour toute cette imagination.

Dire que je suis devenu informaticien pour que l’informatique me simplifie la vie…

Avez vous déjà vu quelqu’un dormir à une de vos présentations PowerPoint ?

Si vous êtes déjà capable de faire des présentations PowerPoint où tout le monde reste suspendu à vos lèvres, alors ce billet n’est pas pour vous.

Je suis en train de lire un livre que je recommande à tout le monde: « Comment ne pas endormir son auditoire en 30 secondes » de Jean-Marc Aimonetti aux éditions De Boeck.

Même si pour ma part, je ne m’en sorts pas si mal lorsque je suis invité à faire une conférence à des étudiants, j’ai beaucoup appris à la lecture de cet ouvrage. Je vais même essayer d’en tirer quelques leçons pour les billets de ce blog, mais aussi pour mes rapports d’expertise.

Le livre donne surtout les clefs d’une communication orale réussie, mais aussi quelques anecdotes vécues croustillantes.

Extraits:

  • Je mets [le lecteur] au défi de n’avoir jamais croisé un orateur pitoyable, celui qui ne regarde que la lumière de secours qui brille en coulisse, celui qui reste « scotché » à ses notes et qui ne lève jamais la tête de son pupitre, celui qui assassine d’entrée l’auditoire avec deux diapositives illisibles bourrées de formules chimiques et qui dit modestement « comme tout un chacun sait… »
  • Thelma travaille sur la maladie de Parkinson […] Elle devait parler devant environ deux cents personnes et elle avait peur. […] Thelma est appelée au pupitre. Elle s’approche de la scène, commence à monter les marches et se prend les pieds dans le tapis rouge. Elle atterrit quelques mètres plus loin, juste en dessous du pupitre. Elle se relève, saisit le microphone et dit: « Justement, je devais vous parler des troubles de la marche chez le parkinsonien. » Les Japonnais qui n’avaient pas osé rire jusque là se sont lâchés pour de bon. Elle venait de faire une des meilleures accroches auxquelles je n’ai jamais assisté, sans même le faire exprès.
  • L’accroche solennelle est un exercice de haute voltige que je recommande pas, sauf si vous avez un talent certain pour la grandiloquence. Dans un congrès à Québec, un ami qui travaille sur l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle a hurlé en projetant sa première diapositive où l’on voyait une carte du Québec avec un nuage d’électrons autour: « Vivent les électrons LIBRES! » Il fallait oser.
  • Le trac est une réaction de défense du système nerveux autonome, celui que la volonté ne commande pas. C’est un moyen inconscient de vous protéger. Votre cerveau, malgré votre volonté, donne de l’énergie pour la parole et la réflexion. Comme l’énergie disponible n’est pas infinie, le cerveau arrête ce qui ne sert à rien à ce moment-là: les fonctions digestives et la motricité (dans ce cas, le problème est que la voix est créée par des muscles). Les mains moites, l’envie d’uriner sont une conséquence physiologique de l’émotion.

J’ai particulièrement apprécié la partie du livre consacrée à la panne du vidéoprojecteur.

Vraiment, un livre à lire.

Windows Vista

Cela fait deux semaines que je teste Vista: mon entreprise ayant la chance de disposer d’une licence ad hoc, j’ai reçu toute une série de CD et DVD contenant les différentes versions du nouveau système d’exploitation de Microsoft, et la nouvelle suite Office 2007.

Autant vous le dire tout de suite, j’ai été très déçu.

La première installation n’est pas allé à son terme. Sans doute une combinaison de composants non gérée par le nouvel OS.

La deuxième installation n’a pas installé AERO, la carte graphique étant considérée comme trop limitée. Dommage, car c’est justement cela que je voulais tester.

J’ai donc ajouté une carte graphique « musclée » et recommencé l’installation. C’est sur cette machine que j’ai effectué quelques tests.

Bon, tout d’abord, le client Novell ne s’installe pas sous Vista. Dommage, toute la gestion des données de mon entreprise est basée autour de ZenWorks, eDirectory et un serveur NAS sous Novell.

Ensuite, petit détail désagréable, ma webcam logitech de base n’est pas reconnue. Le site du constructeur classe mon matériel dans la catégorie « ancien ». Je suppose donc que je ne verrai jamais un pilote Vista pour cette webcam que j’utilise quotidiennement sous Skype.

L’interface AERO m’a extrêmement déçue. A force de voir des copies d’écran montrant l’interface 3D, je croyais naïvement que cette interface 3D restait en permanence à l’écran et que l’on déplaçait les objets dans les trois dimensions (un peu comme dans « Minority reports », mais avec une souris).

Je préviens les linuxiens que j’ai été pareillement déçu par l’interface 3D de compiz, pour les mêmes raisons.

Après deux semaines d’utilisation, je n’ai rien trouvé dans Vista qui vaille la peine de débourser les sommes demandées. Mon dual boot Windows XP SP2 / Debian, muni de tous ses gratuiciels, logiciels libres et logiciels commerciaux couvrent parfaitement mes besoins. Les deux systèmes m’offrent une parfaite stabilité, alors pourquoi passer à Vista?

  1. Parce qu’un expert judiciaire doit savoir extraire de Vista les données que la justice lui demande;
  2. Parce que les nouveaux ordinateurs « clefs en main » seront livré avec Vista;
  3. Parce que professionnellement, je passerai probablement tous les PC de mon entreprise sous Vista dans les années à venir (une entreprise privée de formation doit former aux outils rencontrés dans les entreprises. Donc si les entreprises passent à Vista, nous passerons à Vista)

A contrario, pourquoi rester sous Windows XP?

  1. Parce que cela me couterait trop cher de migrer mes huit PC familiaux;
  2. Parce que les progrès proposés par Vista sont mineurs à mes yeux;
  3. Parce que Windows XP SP2 est stable et qu’en ce domaine, il vaux mieux attendre l’arrivée du SP2 pour Vista (pour des raisons marketing, le SP1 arrivera très vite: la version actuelle de Vista est en fait une version béta, Vista SP1 sera une version instable et Vista SP2 sera la version normale, l’expérience passée l’a montré);
  4. Parce que quand on est honnête, respectueux des lois et que sa bibliothèque de MP3 ne comporte que des morceaux dont on détient les droits d’écoute, on a le droit d’avoir envie de pouvoir écouter « sa » musique sur les baladeurs de son choix, et pendant plusieurs années.

Hasta la vista!