Comment publier un livre

Par amour des livres, et pour laisser par écrit mes histoires à mes amis et mes enfants, je me suis lancé dans l’aventure de l’autopublication. C’est une expérience simple qui peut être faite par tout le monde.

Tout d’abord, je voudrais préciser à l’internaute arrivant sur ce billet sans connaître le blog, que je ne suis pas un professionnel de la question. Je ne suis ni éditeur, ni auteur, ni habitué des métiers liés à l’édition. Je n’ai pas d’intérêt dans les sociétés dont je vais parler, je souhaite simplement partager un retour d’expérience. Je suis quasi débutant en la matière, et mes conseils ne reposent que sur une maigre expérience. N’hésitez pas à proposer en commentaire d’autres pistes que celles que j’ai suivies. La société dont je rêve est une société où le partage est légal et encouragé.

Première étape : la matière première.

Pour fabriquer un livre, il faut d’abord disposer d’écrits. Dans mon cas, la matière première de mes ouvrages est constituée par l’accumulation des billets que j’ai publiés sur ce blog. Toute personne tenant un blog, ayant écrit une thèse ou gardant dans ses
tiroirs des cahiers noircis d’écritures, peut se lancer dans cette
aventure. Pour ma part, ce travail d’écriture était déjà fait. Je pensais que le reste était tout simple, vous allez voir que ce n’est pas si évident que cela.

Étape 2 : récupération et préparation de la matière première.

Dans mon cas, il s’agit de récupérer les billets, ce que j’ai pu faire par un export de l’ensemble du blog vers un fichier XML, suivi du tripatouillage de ce fichier pour enlever les commentaires (qui appartiennent à leurs auteurs), retirer les photos (idem) et inverser l’ordre des billets pour les mettre par ordre chronologique.

Ce travail peut être réalisé de manière élégante avec un joli script dans le langage informatique de votre choix, ou par l’utilisation chaotique de plusieurs logiciels plus ou moins performants à grand coup de copier/coller. J’ai suivi cette 2e voie…

Le but de cette étape est de disposer à la fin d’un fichier contenant tous les billets classés par ordre chronologique et contenant tous les liens d’origine encore fonctionnels. Pour ma part, j’ai travaillé sous Microsoft Word que je connaissais pour l’avoir utilisé pour écrire ma thèse, en 1991, sous Mac SE.

Étape 3 : le choix de l’éditeur.

Avant d’aller trop loin dans la mise en page, je pense qu’il faut avoir une idée plus précise de ce que vous devez fournir comme fichier à l’éditeur. Il vous faut donc choisir celui-ci (sauf bien entendu si un éditeur vous a déjà contacté auquel cas vous pouvez arrêter ici la lecture de ce billet, et recevoir toutes mes félicitations).

Après une recherche sur internet, recherche effectuée en 2007 à l’époque de la première édition du tome 1, j’ai choisi d’utiliser le service en ligne lulu.com.

D’après ce que j’ai compris, le principe part du constat que les machines qui fabriquent les livres aujourd’hui, sont entièrement numériques, et qu’il n’est pas plus compliqué de fabriquer 10000 exemplaires d’un seul livre que 1 exemplaire de 10000 livres. Cela amortit le coût des machines de production en les faisant fonctionner sur ce marché de niche en plein développement à l’époque.

Le site dispose d’accords avec des propriétaires de telles machines sur tous les continents, et les délais d’acheminement de l’exemplaire commandé (fabriqué donc à la demande) ne sont plus aujourd’hui que de quelques jours. 

J’ai donc testé. Et comme j’en ai été satisfait, je suis resté fidèle.

Étape 4 : le choix du format de livre.

Ce choix est important, car vous allez ensuite beaucoup travailler sur la mise en page, et rien n’est plus énervant après plusieurs heures de vérifications et de mises en page, de constater qu’il faut recommencer à cause d’un changement de format de livre.

Le format visé dépend de l’éditeur. A cette étape là, vous allez constater qu’il existe un grand nombre de possibilités. Vous allez devoir choisir le type de couverture (souple ou rigide), le type de reliure (à spirale, dos carré collé…) et la taille du livre (Poche, Petit Carré, Roman, Digest, A5…).

Le site lulu.com propose des aides permettant de choisir le meilleur format.

Remarque : Il n’est pas indispensable, mais cela peut être utile à ce stade, de connaître le nombre total de pages visées. Cela va dépendre du choix de la taille des caractères, des photos ajoutées, du nombre de billets sélectionnés, etc.

Je vous conseille de prendre plusieurs livres dans votre
bibliothèque, de les manipuler, de les mesurer et de choisir de cette manière
le format qui vous plaît. Gardez un livre sous la main pour estimer la taille des caractères, la taille des marges et d’autres paramètres que nous verrons plus loin.

Pour ma part, j’ai choisi le format :

– couverture souple

– reliure dos carré collé

– taille Roman (6×9, 15.24cm x 22.86cm).

Une fois fixé sur le format du livre, vous pouvez commencer la mise en page de vos écrits. Sur lulu.com, vous pouvez télécharger un modèle Word qui correspond parfaitement au format visé.

Étape 5 : le choix de la police de caractère et des billets.

Une fois en possession d’un modèle Word approprié, vous allez pouvoir y copier tout le contenu du fichier obtenu à la fin de l’étape 2.

C’est le moment de choisir la police de caractère par défaut, et sa taille. Vous avez alors un premier aperçu de ce que sera votre ouvrage final.

J’ai choisi :

– Garamond 16 pour le titre du livre

– Garamond 14 pour les titres des billets et

– Garamond 11 pour le corps du texte.

A ce stade, mon document Word contient un nombre de pages beaucoup trop élevé: c’est le moment de sélectionner les textes qui resteront dans le livre, ou de faire plusieurs tomes. Il faut relire l’intégralité de vos écrits et prendre des décisions. Vous endossez le rôle de rédacteur en chef en définissant la ligne éditoriale de votre publication. Vous pouvez décider de ne publier que des billets d’un certain thème, par ordre chronologique ou par rubrique, etc.

J’ai fait le choix de garder le joyeux mélange de ce blog perso, en gardant l’ordre chronologique et ses quatre rubriques principales:

– anecdotes d’expertises judiciaires informatiques (Expert)

– responsable informatique et technique (Professionnel)

– conseiller municipal (Vie publique)

– anecdotes pour mes amis et ma famille (Privée).

J’essaye de rester à un nombre raisonnable de pages: le tome 1 fait 188 pages, le tome 2 fait 264 pages et le tome 3, 244 pages.

Etape 6 : la mise en page.

C’est pour moi une étape longue et difficile.

Je commence d’abord par les styles.

Tout le document Word est mis en style « normal ». Puis tous les titres du document en style « Titre 1 », « Titre 2 », etc. selon le niveau de titre (titre du livre, titre d’un chapitre, titre d’un billet, etc.). Je modifie ensuite les styles pour les adapter à mon goût, et surtout pour faire en sorte que le paragraphe qui suit un style Titre X soit solidaire de celui-ci (pour éviter qu’un titre ne commence en bas d’une page par exemple).

Je modifie ensuite manuellement toutes les « notes de bas de billet » en note de bas de page. J’en profite pour ajouter de nouvelles notes de bas de page pour éclairer un point obscur, une allusion absconse ou traduire une citation latine.

Puis je m’occupe de tous les liens. Dans un livre papier, les URL ne sont pas cliquables, il faut donc les détailler en note de bas de page ou les supprimer. Comme je souhaite publier une version électronique de mes ouvrages, je ne supprime jamais un lien. Je modifie simplement le style « Lien hypertexte » de Word pour que les liens n’apparaissent pas en bleu souligné dans la version papier, mais uniquement dans les versions électroniques…

Les liens vers des billets du blog sont remplacés par des renvois vers les pages du tome concerné, si le billet est déjà publié dans un tome précédent ou dans le tome en construction.

Je rédige la page de titre, l’avant-propos, les avertissements, les remerciements et la quatrième de couverture.

Je place la numérotation des pages (paires à gauche, impaires à droite).

Je construis la table des matières.

Je place le copyright et le numéro ISBN fourni gratuitement par Lulu (obligatoires pour être accepté dans les circuits de distribution).

Puis je vérifie page par page la présentation, en ajoutant avec parcimonie des sauts de page.

Étape 7 : la correction des fautes.

Beaucoup de français sont très attachés à l’orthographe et à la grammaire. Les blogueurs sont souvent confrontés à cela et s’amusent des commentaires qui s’attachent à un détail de la forme plutôt qu’au fond. Quand vous avez passé beaucoup de temps à rédiger un billet, que vous y avez mis beaucoup de vous-même, il est parfois agaçant de lire comme premier commentaire une remarque sur une lettre qui manque. Les anglais ont un terme pour désigner cela: le Grammar Nazi.

Malgré tout, je trouve très désagréable de trouver des fautes dans un livre, surtout en abondance. Sans être un Grammar Nazi, j’apprécie qu’un lecteur me corrige une faute de frappe dans un billet, car cela contribue à l’amélioration du confort de tous. Je ne suis jamais vexé.

Je n’ai pas appris sur les bancs de l’école la réforme de l’orthographe de 1990. Pourtant, cette réforme est maintenant (un peu) enseignée en France, après avoir été adoptée depuis longtemps par tous les pays francophones. J’essaye donc de la mettre en pratique, mais j’avoue avoir du mal. Je préfère encore écrire « Maître » plutôt que « Maitre »… J’ai donc fait le choix d’un mélange entre les règles que j’ai apprises et celles que mes petits enfants apprendront peut-être. J’en parle en tout cas dans chaque introduction de mes tomes.

J’ai choisi de faire intervenir ma mère comme relectrice de mes ouvrages. C’est une ancienne institutrice de CP qui adorait son métier et qui m’encourage encore aujourd’hui à écrire correctement. J’ai commencé la primaire dans sa classe (pour la finir dans celle de mon père qui, lui, s’occupait du CM2)…

Quand j’ai appris à ma mère l’existence de la réforme de 1990, elle s’est empressée d’acheter un livre à ce sujet et, à 80 ans, s’est mise à niveau. Je voudrais lui rendre hommage et la remercier chaleureusement ici-même pour tout le travail qu’elle accomplit.

Je lui adresse par la Poste une version du « manuscrit » imprimée au format A4 recto/verso petite police, qu’elle corrige avec patience et intérêt. Elle me retourne ensuite la liasse pour que je corrige le fichier Word.

Merci Maman.

Étape 8 : le livre papier.

J’ajoute une page blanche au début du document Word (comme dans tous les livres) et le nombre de pages blanches à la fin pour obtenir un total de pages divisibles par 4 (probablement à cause d’une contrainte de fabrication). 

Je sauvegarde mon document Word au format pdf que j’uploade vers Lulu.com. Attention, pour le format pdf issu de Word 2010, ne pas oublier de cocher l’option « Compatible ISO 19005-1 (PDF/A) ».

Il ne me reste plus qu’à choisir une couverture (parmi les modèles libres de droit sur lulu.com), la police et la taille des caractères ainsi que la mise en page de la couverture. J’ai choisi :

– Couverture avant : titre Nimbus Sans L Bold 48 / Sous titre Nimbus Sans L 24

– Dos du livre (tranche) : titre Nimbus Sans L 31

– Couverture arrière : texte Nimbus Sans L 12

Ne souhaitant pas augmenter le prix du livre papier plus que de raison, j’ai choisi « impression Noir et Blanc sur papier standard (couverture en pleines couleurs).

Ça y est, je peux commander mon premier exemplaire (c’est obligatoire sur le site lulu.com pour valider la mise en ligne).

Quelques jours après, je reçois celui-ci, et en vérifie chaque page. Si tout est ok, je peux mettre en ligne le livre et commander les exemplaires pour les amis et la famille.

Étape 9 : les livres électroniques.

J’ai fait le choix de distribuer gratuitement et sans DRM les versions électroniques de mes ouvrages.

Pour cela, je repars du document Word original, dans lequel je supprime toutes les pages blanches, devenues inutiles, et les sauts de page des premières pages pour « condenser » un peu. Je fais recalculer par Word la pagination de la table des matières, ainsi que celle des renvois inclus dans les notes de bas de page (merci la touche F9).

Je modifie ensuite le style « Lien hypertexte » pour que les liens apparaissent (voir étape 6) et je sauvegarde au format PDF. J’obtiens ainsi le premier ebook.

Pour les autres formats, je m’appuie sur l’extraordinaire site 2EPUB vers lequel j’uploade la version PDF pour qu’il me la transforme sans effort en ebook pour iPad, iPhone, iPod, Kindle, Sony Reader, BeBook, Nook, Kobo et autres liseuses…

Il ne me reste plus qu’à partager ces fichiers sur le blog en utilisant la méthode que je présente dans ce billet intitulé « Partage de fichiers sur Blogger« .

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Voili, voilou. J’espère vous avoir donné envie de publier vos écrits au format papier ou dans un format électronique. En tout cas, vous êtes plusieurs milliers à avoir téléchargé la version électronique de mes publications, et cela, ça me fait très plaisir.

J’ai conscience qu’il s’agit pourtant d’un travail d’amateur. Il m’a fallu endosser tous les métiers du monde de l’édition: auteur, correcteur, maquettiste, rédacteur en chef, chef de fabrication, éditeur, diffuseur, hébergeur… sans pour autant en avoir les compétences.

Je rêve d’une bibliothèque virtuelle publique où tous les ebooks en langue française pourraient être centralisés et distribués gratuitement et sans DRM. Je rêve d’un ministère français de la culture et de la communication qui mettrait en place un tel projet…

Mais cela, c’est une autre histoire.

Je vous souhaite en attendant une bonne lecture 🙂

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Source photo Megaportail.

25 réflexions sur « Comment publier un livre »

  1. Pour la relecture, je vous conseille Antidote, un logiciel édité par nos cousins d'outre-atlantique. Très efficace, et surtout très sécurisant…

  2. À la fin de la lecture de votre billet, il ne me reste plus qu'une question… Et combien ça coûte?

    🙂

    • Pourtant, si j'en crois le calculateur de coût sur lulu.com, 21.85 € avec les options par défaut (10.80 € en noir & blanc)…

    • Cela ne coûte rien à l'auteur. Le seul coût est celui de fabrication-expédition de l'ouvrage, supporté par celui qui l'achète.

  3. La réforme de l'orthographe de 1990 ne vise pas à remplacer l'orthographe des mots, mais à accepter des orthographes alternatives. L'Éducation Nationale a pour mission d'enseigner prioritairement cette "nouvelle" orthographe, depuis 2008 seulement.

    Vous pouvez donc continuer à écrire Maître (le fameux accent circonflexe remplaçant un 's' d'une orthographe plus ancienne), comme vous pouvez maintenant écrire gageüre pour mettre en évidence la prononciation correcte. Une simplification que j'apprécie dans cette réforme est l'écriture des numéraux, on peut mettre des traits d'union partout.

    Petite question: avez-vous essayé d'utiliser des formats séparant le fond de la mise en forme pour écrire vos livres, tels que du LaTeX ou du DocBook? Si oui, pourquoi y avez vous renoncé?

    • Je ne maîtrise ni LaTeX, ni DocBook. J'ai donc utilisé les outils que je connaissais le mieux (pour un effort minimal 😉

  4. Puisque ça peut vous faire plaisir…

    « cette réforme est maintenant (un peu) enseignéE en France, après avoir été adoptéE »

    Et sinon, pourquoi ne pas avoir plutôt utilisé LaTeX ? Ça aurait pu éviter des soucis de mise en page, non ?

  5. Le hasard fait si bien les choses… "cette réforme est maintenant (un peu) enseigné en France"
    Enseignée ?

    Bravo et merci pour vos textes

  6. Bonsoir,
    Un point m'interroge…
    Dans les étapes 1 à 9 que vous nous décrivez, il n'y a pas la "diffusion"!
    Une fois mis en page, imprimé, relié, comment est-il "diffusé"?

    • C'est le principal problème de tout processus d'auto-édition.
      Toute personne se rendant sur le site peut acheter le livre.
      Encore faut-il qu'il s'y rende. Lorsque l'on a sa notoriété, cela n'est pas trop compliqué. Sinon, c'est encore beaucoup de sueur pour "vendre" son travail.

    • Dans mon cas, je ne cherche pas une grande diffusion. Les livres sont surtout destinés à ma famille et à mes amis qui ne me suivent pas nécessairement sur le blog. Ils sont également destinés aux lecteurs du blog qui souhaitent relire les anciens billets à tête reposée.

      Je n'ai donc pas à endosser le métier de commercial pour diffuser, je me contente de signaler la parution d'un nouveau tome sur le blog.

      C'est pour cela que je rêve d'un site centralisateur de tous les ebooks français gratuits et sans DRM…

  7. Personnellement, les assistants de Lulu.com ont fini par m'énerver il y a deux ou trois ans. Les coûts et les délais de livraison étaient également importants.
    J'ai donc fini par opter pour un service bien de chez nous (de Lille en l'occurrence) : TheBookEdition.com . Je le trouve moins cher, plus rapide et plus simple pour qui maîtrise un traitement de texte.

    • Je ne connaissais pas ce site. Je viens de regarder rapidement, il ne gère pas l'attribution d'un numéro ISBN (il faut remplir un formulaire, donner son nom, etc. et attendre 3 semaines…).

      Et puis les délais de lulu.com sont maintenant de quelques jours seulement (contre 2 semaines au début).

      Mais je serais content que vous fassiez un retour d'expérience (surtout comparatif) sur ce site !

    • "Neneu de service"?
      Mais c'est PIRE!!!
      Même ma belle-mère (83 ans) quand elle sait pas, elle me dit "regarde sur Google" (VERIDIQUE)
      Donc "DRM: La gestion des droits numériques (GDN1, en anglais digital rights management, DRM) a pour objectif de contrôler par des mesures techniques de protection, l'utilisation qui est faite des œuvres numériques"
      Pour la prochaine fois, ne pas oublier la formule magique: "Regarde sur Google!"

  8. Comme je suis en suisse (romande), lulu.com me parle en allemand… Le coquin!

    Évidemment, le bouton pour changer la langue est subtilement et ergonomiquement placé après les notes de bas de page.

  9. Votre lien de conclusion renvoie à une page inexistante (en tout cas au moment où j'écris ces quelques lignes !).

    Article très intéressant d'autre part… comme d'habitude !

  10. Pour ma part j'ai envoyé ma nouvelle à un paquet de maisons d'édition et je n'ai pas eu de réponse positive. Du coup je l'ai publiée sur un site de publication gratuite qui permet de bien mettre en valeur son ouvrage. Mon bouquin marche pas mal du tout :)Je vous mets le lien du site, et si l'envie vous prend de jeter un oeil à mon texte, c'est "la petite danseuse russe". Le lecture en est gratuite Je vais bientôt dépasser les trois cents lecteurs! https://www.monbestseller.com/wallofbooks/newness

  11. « pour obtenir un total de pages divisibles par 4 (probablement à cause d'une contrainte de fabrication). »

    Pour comprendre, il faut regarder un livre par la tranche : on voit que le livre est fait de feuillets assemblés par une agrafe ou un fil. Chaque feuillet a deux faces et est plié en deux au niveau de l’attache. Donc 4 pages par feuillet.

  12. Bonjour, tout d'abord merci pour votre article il est très intéréssant. Je me suis retrouvé de nombreuses fois dans vos conseils et remarques. Pour ma part après avoir réalisé cette partie du travail j'ai décidé de passer à l'édition.

    Pour cela, après avoir effectué quelques recherches et contacter bon nombre de maisons d'éditions, j'ai enfin trouvé mon bonheur chez 7ecrit (site web: https://7ecrit.com).

    Ils ont tout de suite accroché à mon style d'écriture et le fait que je sois débutant n'a dérangé en aucun cas.

    Ils ont pour vocation principale de publier les premiers ouvrage des nouveaux auteurs, de permettre au grand public de les découvrir.

    C'est ce qui m'a le plus encouragé à prendre contact avec eux dans un premier temps puis m'engager avec dans un second temps.

    L'avantage est également qu'ils n'ont pas de ligne éditoriale stricte, ils acceptent tout types d'écriture tant que ça leur plait.

    De plus ils publient autant au format livre qu'au format numérique adapté aux eBook, Kindle et autres liseuses numériques. Aujourd'hui c'est un point fort étant donné que les habitudes littéraires des lecteurs changent et que beaucoup préfère les eBook.

    Merci beaucoup pour votre soutien et je vous conseille de jeter un oeil sur cette maison d'édition qui pour moi fut une vraie révélation.

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