Billet précédent (introduction)
J’ai 54 ans. Aussi loin que ma mémoire me permet de remonter, j’ai toujours été guidé dans mes choix professionnels par la passion. C’est une des clés de ma personnalité et de mon bonheur.
J’ai eu la chance de me découvrir un centre d’intérêt lorsque j’étais au collège : l’électronique. Je démontais tout ce qui passait à ma portée, et je me revois encore triturer les radios à tubes qui font aujourd’hui les délices des collectionneurs ou des décorateurs d’intérieur. Je récupérais les pièces, les vis, les condensateurs variables à air, les boutons en bakélite… J’étais abonné à la toute nouvelle revue « Électronique pratique« , et je dévastais, au désespoir de mes parents, la moquette de ma chambre avec mon fer à souder.
De l’électronique à la calculatrice programmable, il n’y avait qu’un pas, rapidement franchi. La suite est une chanson connue tant cela correspond aux clichés : création du club d’informatique du lycée (en 1979 !) avec du matériel prêté par un parent d’élève, bac C, TRS80, math sup, math spé x2, école d’ingénieurs option informatique, service militaire dans le service informatique des armées, et me voilà sur le marché du travail.
Sauf que…
————–
Ce récit est basé sur des faits réels, les noms et certains lieux ont été changés.
Photo by Skitterphoto from Pexels |
"sauf que"… quoi ?!
La suite au prochain épisode 😉