L’âne des ânes dans les siècles des siècles

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J’ai beaucoup réfléchi depuis l’arrêt de ce blog.
J’ai lu les commentaires, j’ai reçu des emails, j’ai discuté avec des amis.

8 jours, 1h et 57 mn après l’écriture du billet précédent, la rédaction des billets me manque. Je mentirais en oubliant de préciser que l’attente de l’apparition des commentaires me manque aussi.

Plusieurs commentateurs m’ont fait remarquer gentiment qu’il n’était pas nécessaire de publier un billet tous les deux jours.

Je suis donc arrivé à la conclusion suivante: je suis un imbécile.

Seul l’imbécile ne change pas d’avis.
Mais alors, il y aurait contradiction avec le fruit des réflexions ci-dessus citées?
Est-ce une preuve d’intelligence de reconnaître ses tords et de

16 réflexions sur « L’âne des ânes dans les siècles des siècles »

  3. Bien qu’ayant pris connaissance du billet précédent ce matin uniquement, je m’en réjouis.

    Encore une star retraitée qui tente un come-back? 😉

  7. Super!
    Le plaisir d’écrire (ce blog), le plaisir de savoir que l’on est lu (google-analytics) et le plaisir de faire réagir via les commentaires… Quelle est votre dose? 1/3, 1/3, 1/3 ?
    En tout cas, on se réjouit dans les chaumières!

  8. Comme on dit chez Google : Yahoo !

    Oui, pour fêter ça, je m’essaie à l’humour d’informaticien.

    Bienvenue. Vous nous avez manqué.

  13. Alors ça, c’est une bonne nouvelle !
    Allez Zythom, pour fêter ton retour et replonger progressivement dans l’univers de ton blog, fais nous un billet sur un sujet qui te tiens à coeur. Tiens, l’Intelligence Artificielle, c’est sympa ça ! en plus je crois me souvenir que c’était une de tes passions.

    Pas de panique, on n’est pas pressé, on peut attendre le mois prochain si tu veux.

    Bienvenue chez toi. :o)

  15. Ca tombe bien on ne voulait pas que tu t’arretes!

    Aller, au boulot;-)

    et encore merci.

    PS: tu postes quand tu veux, hein?

  16. Personnellement je n’écris plus qu’un ou deux billets par mois. Mais je laisse mon blog ouvert, pour le cas où l’envie me reprenne plus fortement.

    Re-bienvenue alors !

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