Bon, en rentrant hier soir, la copie était interrompue: le switch réseau n’a visiblement pas supporté le débit du transfert entre les deux PC.
Changement du switch, redémarrage de la procédure de copie sans la compression, réestimation du temps de copie: 9h. Euh, j’avais donc mal estimé le temps de la copie (hier j’avais calculé 3 jours…). On va dire que c’est à cause du switch défectueux.
La nuit passe.
Ce matin, tout est OK. La prise d’image s’est bien déroulée pendant la nuit: durée 27852s (à vos calculettes).
J’éteins la station d’accueil et range le disque d’origine.
Je fais une copie de l’image (2×160 Go: heureusement que j’inaugure mon nouveau DD de 400 Go!) et lance mes procédures automatiques de recherche d’images.
Il est 8h du matin, il faut aller travailler.
Suite des investigation ce soir après 21h… Et alors fini les automatismes, place à l’être humain!
Pourquoi faire transiter les données par le réseau plutôt que de brancher le disque directement sur votre PC de travail ? ça aurait pris nettement moins que 10h et aurait évité le pb du switch…
Je n’ai pas encore fait l’acquisition d’un bloqueur d’écriture permettant de garantir que je n’altère pas les données du disque dur.
Je souhaite pouvoir par ailleurs continuer à travailler, sur mon rapport en particulier, d’où un PC de travail (dual boot windows/linux).
De plus, si la carte réseau du PC à étudier est reconnue par mon live cd, je n’ai pas à démonter le disque dur.
J’ai donc choisi la solution « pc sous linux » avec une distribution spécialement conçue pour l’analyse des disques en lecture seule (je vais faire prochainement un billet sur les outils que j’utilise), avec une acquisition à travers le réseau.